3 Bibliographies sont actuellement disponibles, la version A.01 (2003) , la A.02, plus complète, (2004) et la A.03, la définitive.. C'estcette ultime version qui vous est présentée ici.
Cliquez sur la flèche ci-dessous pour aller à la page "Bibliographie" (Site "Les Trois Trésors)
Une belle calligraphie envoyée par un ami italien. Je vous laisse deviner sa signification !
ODE AU PAVOT
Depuis trois ans ma porte est demeurée fermée ; je n'ai été nulle part et ne suis revenu de nulle part ; je vois en rêve l'ermite de l'ombrage et le prêtre bouddhiste à la longue robe et lorsqu'ils s'assoient près de moi, j'oublie volontiers de parler ; buvant alors une tasse de décoction de pavot, je ris, je suis content ; sans sortir de chez moi, je vais à la ville Yung-Chuen et je vagabonde sur les plages de la rivière, il me semble aussi gravir les talus de la montagne Lu, située cependant bien loin de ma demeure, dans l'Ouest, et je suis heureux.
SU-CHE (1068)
Pipes à opium qui inondent le marché. On vous propose parfois : annonces, sites d'enchères - ebay en est rempli ! - Voire même dans des salles des ventes, des pipes anciennes, authentique, époque King, j'en passe et des meilleures ! (et parfois à des prix dépassant l'entendement.) En fait, elles sont fabriquées en masse et ne sont aussi anciennes que moi ne suis Empereur de Chine. Pour en savoir plus, voici un lien qui vous en présente 3 séries. Pour ne pas se faire piéger !
Mickey est opiomane ... tout mon univers bascule ! Poussant plus loin mes investigations, j'ai découvert que Panoramix, oui, Panoramix se pintait la ruche à l'absinthe :
J'arrête là me recherches car je sens que je vais découvrir bien des turpitudes : Tintin sniffant de la coke, Alix, poudré-loppe, se piquant à la morphine, et la Castafiore, un peu gouine, se régalant de salades de fruit à l'éther !
Certains vils calomniateurs, des jaloux, des aigris, pourraient penser que l’opium est, pour moi, une obsession. Mais non, voyons, je ne fais pas que ça heureusement ! Il faut dire que … mais oyez ma triste et bouleversante histoire : petit, en guise de biberon, je suçais les vieilles pipes à opium du tonton d’Indochine, mon père, pharmacien me soignait aux décoctions de pavots, et ma vieille nourrice m’a appris à lire avec « les Confessions d’un mangeur d’opium » de De Quincey. Plus tard, alors que mes petits camarades suçaient du zan, je grignotait du dross. Il y a peut-être un rapport, qui sait ? Mon psy, le Docteur Chandoo, est perplexe !
